Aujourd’hui, les Etats-Unis ne dirigent pas « depuis l’arrière » : ils ne dirigent pas, tout court
L’absence d’acteur majeur susceptible d’infléchir le cours des événements au Moyen-Orient illustre l’état actuel du monde, où aucune puissance ne parvient plus à imposer l’ordre, estime, dans sa chronique, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».