En annonçant une dissolution de l’Assemblée nationale, après la victoire écrasante du Rassemblement national, le chef de l’Etat cherche à faire diversion et s’évite les règlements de comptes postélectoraux dans son propre camp. Une opération follement risquée, explique, dans sa chronique au « Monde », Solenn de Royer.
« A force de jouer avec le feu, le chef de l’Etat pourrait finir par se brûler, en entraînant dans l’incendie le pays tout entier »
