A Kiev, devant un centre de recrutement : « Il faut bien que quelqu’un tienne une arme »

A partir du 18 mai, la législation adoptée en avril sur la mobilisation oblige les Ukrainiens à s’identifier auprès des autorités. A Kiev, volontaires ou non pour rejoindre le front, nombre d’entre eux ont devancé l’appel.

Quitter la version mobile