Le candidat républicain à la présidentielle, qui paraissait favorable à une loi de compromis sur l’IVG, s’est finalement rangé derrière l’avis de la Cour suprême, qui avait abrogé ce droit fédéral en 2022.
Le candidat républicain à la présidentielle, qui paraissait favorable à une loi de compromis sur l’IVG, s’est finalement rangé derrière l’avis de la Cour suprême, qui avait abrogé ce droit fédéral en 2022.