Après la mort du président iranien, un risque accru d’instabilité au Moyen-Orient

L’élection qui sera rapidement organisée pour remplacer Ebrahim Raïssi, mort le 19 mai, à la présidence de l’Iran, sera l’occasion pour le régime de réitérer la ligne dure qu’il impose au pays depuis 2021, au mépris des protestations intérieures et des pressions extérieures.

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