Moscou et Pékin, qui n’ont pas condamné l’attaque iranienne sur le territoire israélien, voient dans cette crise l’occasion d’enfoncer un coin entre l’Occident et le reste du monde.
Moscou et Pékin, qui n’ont pas condamné l’attaque iranienne sur le territoire israélien, voient dans cette crise l’occasion d’enfoncer un coin entre l’Occident et le reste du monde.