La crise entre Buenos Aires et Madrid met en évidence une diplomatie du président argentin ignorant ses homologues et donnant la priorité à ses « amis politiques ». Ses déplacements semblent servir davantage son ego que les intérêts du pays.
La crise entre Buenos Aires et Madrid met en évidence une diplomatie du président argentin ignorant ses homologues et donnant la priorité à ses « amis politiques ». Ses déplacements semblent servir davantage son ego que les intérêts du pays.