La nomination, en novembre, du Sicilien à la tête de la Biennale d’art contemporain, qui s’ouvre le 20 avril, a plongé le monde italien de la culture dans un abîme de perplexité. Intellectuel estimé, anticonformiste converti à l’islam, ancien cadre d’un mouvement postfasciste, il est aussi un soutien de la présidente du conseil, Giorgia Meloni.