Si la dédiabolisation du parti d’extrême droite est loin d’être acquise parmi les chefs d’entreprise, ces derniers n’en restent pas moins prudents, explique, dans sa chronique, Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde ».
Si la dédiabolisation du parti d’extrême droite est loin d’être acquise parmi les chefs d’entreprise, ces derniers n’en restent pas moins prudents, explique, dans sa chronique, Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde ».