Comment l’université de Strasbourg, secouée par le conflit à Gaza, tente, malgré un regain d’antisémitisme, de rester un lieu de débat

Des tags quotidiens, des blocages ponctuels, une agression physique, un dialogue entre étudiants tabou… A l’instar de nombreuses universités françaises, les répercussions du conflit entre Israël et le Hamas n’épargnent pas le campus de Strasbourg, obligeant direction et enseignants à une délicate équation.

Quitter la version mobile