Ils ont été reconnus coupables d’avoir joué un rôle dans la disparition forcée et la mort de Mazzen Dabbagh et de son fils Patrick, deux Franco-Syriens arrêtés à Damas en 2013 et transférés dans un centre de détention. Les deux hommes n’ont plus donné signe de vie jusqu’à être déclarés morts en août 2018.