Si Emmanuel Macron, le 25 avril, a prôné l’unité au sein de l’Union européenne pour faire face aux tensions géopolitiques et aux défis économiques, il risque cependant d’avoir donné l’impression de se soucier d’abord des intérêts français, souligne Thierry Chopin, de l’Institut Jacques Delors, dans une tribune au « Monde ».