Au regard du poids politique auquel prétend le Rassemblement national, les dérobades de sa tête de liste sur son projet européen sonnent comme un aveu de faiblesse, analyse dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».
Au regard du poids politique auquel prétend le Rassemblement national, les dérobades de sa tête de liste sur son projet européen sonnent comme un aveu de faiblesse, analyse dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».