Pour le dernier week-end de campagne, à Marseille, Toulouse et Paris, « insoumis », socialistes, communistes et écologistes se sont affrontés plus ou moins brutalement. De quoi laisser présager une recomposition chaotique au lendemain du scrutin.
Pour le dernier week-end de campagne, à Marseille, Toulouse et Paris, « insoumis », socialistes, communistes et écologistes se sont affrontés plus ou moins brutalement. De quoi laisser présager une recomposition chaotique au lendemain du scrutin.