Le discours sur l’Europe prévu jeudi 25 avril le confirme : de bout en bout, l’aventure commencée en 2017 reste centrée autour de la figure d’un homme qui n’a peur de rien. Mais, dans un contexte de dérapage budgétaire, l’effet de souffle risque d’être moins fort aujourd’hui, observe dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».