« J’ai décidé de vous redonner le choix de notre avenir parlementaire par le vote », a annoncé le chef de l’Etat. Marine Le Pen s’est réjouie de cette décision et considère son parti comme la « grande force d’alternance ». Raphaël Glucksmann a, lui, accusé Emmanuel Macron de mener « un jeu extrêmement dangereux avec la démocratie et les institutions ».