Avec le basculement du Niger, Vladimir Poutine dispose, après la Centrafrique, le Mali et le Burkina Faso, d’un nouveau relais dans un pays d’émigration dans le Sahel, observe, dans sa chronique, Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ».
Avec le basculement du Niger, Vladimir Poutine dispose, après la Centrafrique, le Mali et le Burkina Faso, d’un nouveau relais dans un pays d’émigration dans le Sahel, observe, dans sa chronique, Philippe Bernard, éditorialiste au « Monde ».