Parce que la chute de l’Ukraine confronterait le reste de l’Europe à des menaces immédiates, la France doit assumer une politique d’« ambiguïté stratégique » sur les approches orientales de l’OTAN, affirment les chercheurs en géopolitique Cyrille Gloaguen et Jean-Sylvestre Mongrenier dans une tribune au « Monde ».