« Face au RN de plus en plus offensif, le camp présidentiel apparaît plus vulnérable qu’il y a cinq ans »

Dans leur tentative de desserrer l’étau dans lequel les enserre le match entre Emmanuel Macron et le Rassemblement national en vue des élections européennes du 9 juin, Raphaël Glucksmann bénéficie de davantage d’atouts que François-Xavier Bellamy, estime, dans sa chronique, Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».

Quitter la version mobile