« Introduire la liberté de recours à l’IVG dans la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne n’apporterait pas plus qu’une avancée symbolique »

Réitérée dans son discours de la Sorbonne, la proposition du président de la République implique un accroissement des compétences de l’Union qui, en l’état, ne permettent pas de légiférer sur l’avortement, explique dans une tribune au « Monde » le juriste Sylvain Thiery.

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