Le professeur à l’IHEID de Genève estime, dans une tribune au « Monde », que le gouvernement réagit à la mobilisation en faveur des Palestiniens à Sciences Po en s’en prenant à l’université et à des libertés fondamentales. Selon lui, cette dérive empêche Emmanuel Macron de se présenter comme un barrage crédible face à l’extrême droite.