Avec la frappe aérienne israélienne qui a touché, le 1ᵉʳ avril, le consulat d’Iran à Damas, on quitte l’affrontement par tiers interposé entre l’Etat hébreu et Téhéran, et on se rapproche de la confrontation directe entre les deux pays, analyse dans sa chronique Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».