« La flamme fascisante continue de brûler au-dessus de la tête de Giorgia Meloni »

Si elle affiche un rassurant visage pro-européen, la présidente du conseil italien contribue à la normalisation de l’extrême droite au pouvoir par son refus de renier l’histoire politique de son parti et par l’action de son gouvernement, considère la philosophe Anna Bonalume dans une tribune au « Monde ».

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