Lors de l’offensive aérienne de Téhéran, Riyad et Abou Dhabi auraient laissé Washington, Londres et Paris utiliser leurs bases dans la région à la condition qu’aucune interception de projectiles n’ait lieu depuis leur territoire.
Lors de l’offensive aérienne de Téhéran, Riyad et Abou Dhabi auraient laissé Washington, Londres et Paris utiliser leurs bases dans la région à la condition qu’aucune interception de projectiles n’ait lieu depuis leur territoire.