« La politisation des étudiants de Sciences Po est porteuse d’une citoyenneté critique qui rejette l’activisme radical »

Derrière l’image d’un Sciences Po radicalisé se cache le vrai visage de l’établissement, documenté par les études, explique la sociologue Anne Muxel, dans une tribune au « Monde ». Si les étudiants sont clairement engagés à gauche, ils restent plutôt légitimistes et respectueux des institutions.

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