« Le Parti communiste chinois vise à faire des sciences humaines et sociales un champ d’élaboration de l’idéologie du régime »

Les échanges académiques avec la Chine sont devenus une porte de plus en plus étroite estime la sinologue Chloé Froissart, alors que le contrôle du PCC s’est renforcé sur les universités et que les chercheurs chinois sont mis à contribution pour donner un contenu aux slogans de la propagande.

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