Le successeur du porte-avions « Charles-de-Gaulle », un chantier géant aux enjeux militaires et civils

Le projet militaro-industriel à 10 milliards d’euros s’organise pour doter la France d’un successeur au « Charles ». Sa propulsion nucléaire doit lui permettre dix ans d’autonomie de navigation et fait figure de bouffée d’oxygène pour une filière de l’atome fragile.

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