La disposition de l’Europe à se remettre perpétuellement en question est son meilleur atout, bien qu’elle repose sur un art du compromis souvent perçu comme une faiblesse, raisonne l’écrivaine d’origine tchèque, dans une tribune au « Monde ».
La disposition de l’Europe à se remettre perpétuellement en question est son meilleur atout, bien qu’elle repose sur un art du compromis souvent perçu comme une faiblesse, raisonne l’écrivaine d’origine tchèque, dans une tribune au « Monde ».