Si l’Hexagone fait figure de mauvais élève de l’Europe, avec un déficit public de 5,5 % du produit intérieur brut, il possède suffisamment d’atouts pour éloigner le spectre d’une crise grecque, brandie comme une menace par la droite.
Si l’Hexagone fait figure de mauvais élève de l’Europe, avec un déficit public de 5,5 % du produit intérieur brut, il possède suffisamment d’atouts pour éloigner le spectre d’une crise grecque, brandie comme une menace par la droite.