Le conflit russo-ukrainien marque un changement d’époque et une entrée de plain-pied dans un troisième âge nucléaire, estime l’ancien secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale, dans un entretien au « Monde ».
Le conflit russo-ukrainien marque un changement d’époque et une entrée de plain-pied dans un troisième âge nucléaire, estime l’ancien secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale, dans un entretien au « Monde ».