Aujourd’hui, les hommes et les biens circulent librement dans les vingt-sept pays de l’Union européenne, mais pas les capitaux. Un enjeu qui redevient prioritaire, estime Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
Aujourd’hui, les hommes et les biens circulent librement dans les vingt-sept pays de l’Union européenne, mais pas les capitaux. Un enjeu qui redevient prioritaire, estime Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».