Depuis le massacre perpétré par le Hamas en Israël, le 7 octobre, et la réplique menée à Gaza par l’Etat hébreu, le prestigieux campus est devenu l’épicentre de la mobilisation étudiante en faveur de la Palestine. Un soutien qui a essaimé dans tout le pays et jusqu’en Europe. Mais entre accusations d’antisémitisme et évacuations policières, l’institution termine l’année profondément fracturée.