Le chef du Kremlin a de nouveau brandi la mémoire du nazisme pour justifier l’invasion de l’Ukraine, présentée par la propagande d’Etat comme une réédition du combat de 1945, et réitéré la menace du nucléaire contre ses alliés.
Le chef du Kremlin a de nouveau brandi la mémoire du nazisme pour justifier l’invasion de l’Ukraine, présentée par la propagande d’Etat comme une réédition du combat de 1945, et réitéré la menace du nucléaire contre ses alliés.