« Qu’on ne s’y trompe pas : s’il venait à gouverner, le RN renouerait avec son ADN diplomatique, celui de la complaisance avec les autocrates et de la fascination pour la grande Russie »

Ce n’est pas un hasard si Moscou se félicite de la progression de l’extrême droite aux élections européennes du 9 juin : elle sert ses intérêts, de même que l’affaiblissement d’Emmanuel Macron et Olaf Scholz sur la scène internationale, estime dans sa chronique Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».

Quitter la version mobile