Le ministère des armées ne désignait officiellement jeudi aucune piste quant aux auteurs du faux. Mais un haut responsable français a expliqué à l’Agence France-Presse qu’il portait « la marque d’un dispositif russe ou prorusse ».
Le ministère des armées ne désignait officiellement jeudi aucune piste quant aux auteurs du faux. Mais un haut responsable français a expliqué à l’Agence France-Presse qu’il portait « la marque d’un dispositif russe ou prorusse ».