Ali Mamlouk, Jamil Hassan et Abdel Salam Mahmoud, trois hauts responsables du système répressif syrien, sont accusés de complicité de crimes contre l’humanité dans le cadre de la disparition en 2013 de Mazzen et Patrick Abdelkader Dabbagh, deux Franco-Syriens qui auraient été torturés à mort. Les trois hommes seront absents à leur procès.